Monday, December 10, 2007




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Wednesday, April 18, 2007

test

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Wednesday, August 30, 2006

ICÔNERIES (PART 1)

(Les dragonnes,
on les culbute ou
on les bute !)
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ICÔN(n)ERIES (PART 2)

Mais redevenons sérieux un instant,
voulez-vous !)
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Wednesday, August 23, 2006

NO COMMENT !

(trouvé ça chez ma pneumologue...)

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Tuesday, August 22, 2006

TOMBEAU POUR 500 000 BIDHASSOMERIS

TOMBEAU D'A&DMAN

LODEVE, printemps 1917 :
AUX VICTIMES DE LA POESIE & DU PASTIS...

(... avec l'ami Bidhassomeris,
collectionnez les bides poétiques les plus fous !)

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Saturday, August 19, 2006

AMOURS D'ETE !

LES GIRLS/FRIENDS ECOSSAISES DEJANTEES D'A&DMAN VOUS SALUENT !

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EN AVANT VERS L'ART NOUVEAU !

ILE DE BUTE (SCOTLAND) 14 JUILLET 2006/
A&DMAN (alias GROGLANDER) INVENTE LE SONOFART (... son of a beach art !)
EN JOUANT A SAUTE/MOUTONS AVEC LES MEDUSES CONSTERNEES
QUI GLANDOUILLAIENT SUR LA PLAGE DE SES VACANCES...

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Friday, August 18, 2006

signez la petition !

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Tuesday, June 20, 2006

MELANGE DES GENRES...

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Thursday, June 01, 2006

LE HIP HOP-LITE (... grec !) & LE CORBEAU

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Wednesday, May 31, 2006

"TOUT VA BIENtôt l'été... Alors au boulôt !"

Qui dit «guerre froide» pense course aux armements, rideau de fer, voire chasse aux sorcières, mais rarement à la culture, qui en a pourtant été un des principaux champs de bataille. La récente traduction française de «Who paid the Piper?», de Frances Stonor Saunders nous montre comment la CIA a utilisé la culture comme arme contre la gauche au sortir de la deuxième guerre mondiale.
Jacqueline Kay *14-07-2003
Dans son ouvrage, Saunders fournit des preuves évidentes d’un plan soigneusement mûri par la CIA et dont le but était d’inféoder la vie culturelle et intellectuelle de l’après-guerre à l’impérialisme américain et aux conceptions de mise durant la guerre froide.
En fait, la CIA s’était transformée en mécène des arts d’une envergure qui aurait fait pâlir d’envie les Médicis eux-mêmes.
Si j’écris cette critique, c’est parce je suis désemparée de me rendre compte que mon développement intellectuel, en apparence autonome, est en réalité le résultat d’un plan secret soigneusement mijoté par un service de renseignement étranger.
Une opération d’une ampleur considérable
"La CIA s’était transformée en mécène d’une envergure qui aurait fait pâlir d’envie les Médicis eux-mêmes"
«A l’apogée de la guerre froide, le gouvernement américain a investi des moyens gigantesques dans un programme secret de propagande culturelle en Europe occidentale. Nier l’existence d’un tel programme est devenu une composante importante du projet lui-même, exécuté dans le plus grand secret par la CIA. Au coeur de ce programme se trouvait le CCF (Congress for Cultural Freedom), dirigé de 1950 à 1967 par Michael Josselson, un agent de la CIA.
Ses résultats, et surtout sa durée, furent tout sauf négligeables. A son apogée, le CCF employait des dizaines de personnes dans 35 pays, il publiait plus de vingt revues prestigieuses, montait des expositions, possédait son propre service de presse, son propre service cinématographique, organisait d’importantes conférences internationales et récompensait musiciens et artistes par des prix et des performances publiques. Sa tâche consistait à séduire les intelligentsias occidentales, demeurées longtemps sous le charme du marxisme et du communisme, pour leur faire adopter progressivement une attitude plus accommodante vis-à-vis des façons d’agir américaines.»
Pour les chevilles ouvrières du CCF, la guerre froide a été essentiellement une guerre culturelle. Afin d’assurer l’autocratie des Etats-Unis, il convenait de soutenir idéologiquement l’aide économique à une Europe exsangue, affamée et en ruines.
En décembre 1947, Georges Kennan, l’architecte du plan Marshall, introduisait le concept du «mensonge nécessaire» en tant que pierre angulaire de la diplomatie américaine: on défendrait la vérité en recourant au mensonge, la liberté en recourant à la manipulation, la démocratie par le biais d’une oppression impitoyable, l’ouverture du régime par des opérations secrètes et sournoises.
La CIA embauche des socialistes et des ex-communistes
Les soutiens principaux de ce renversement angoissant des valeurs n’étaient nullement des idéologues de droite ni des nazis réhabilités au lendemain de la guerre, mais bien des prétendus gens de gauche s’affirmant comme «non communistes». Le stratège le plus important fut Arthur Koestler.
L’écrivain, admiré en Occident pour sa condamnation du stalinisme, avait été recruté afin de décider des intellectuels progressistes à surmonter leur confusion de pensée et à vaincre leur attitude distante vis-à-vis de la politique. Koestler allait convaincre la CIA que la meilleure manière de lutter contre le communisme était de recourir aux services d’anciens communistes, décrits comme «des personnes qui avaient été déçues par le communisme mais qui étaient restées fidèles aux idéaux du socialisme»..
"Afin d’assurer l’autocratie des Etats-Unis, il convenait de soutenir idéologiquement l’aide économique à une Europe exsangue, affamée et en ruines"
C’est ce qui allait décider la CIA à tenter l’aventure avec les socialistes. Trois textes-clés témoignent de cette stratégie: The Vital Centre, d’Arthur Schlesinger, The God That Failed, d’Arthur Koestler et Nineteen Eighty-Four (1984) de George Orwell. Hormis ce trio, le philosophe Isaiah Berlin, l’homme politique Averell Harriman, le compositeur Nicholas Nabokov et l’écrivain et critique Melvin Lasky étaient les forces vives de tout ce projet. La plupart d’entre eux avaient des lettres de créance de gauche, censées conférer à leurs points de vue la crédibilité nécessaire.
Une tentative de mise sur pied d’une section américaine du CCF allait tourner en eau de boudin en raison du tollé des intellectuels américains et de l’attitude intègre d’un certain nombre de personnes, parmi lesquelles le dramaturge Arthur Miller et la femme de lettres Mary Carthy (la philosophe sociale Hannah Arendt, par contre, en fut l’une des plus chaudes partisanes).
On n’allait pas connaître de tels remous en Grande-Bretagne, où des intellectuels, des artistes et des hommes politiques se bousculèrent dans une course effrénée aux cadeaux et firent la promotion de leur petite personne dans l’espoir de pouvoir séjourner quelques jours dans un palace ou de décrocher l’un ou l’autre petit voyage d’agrément outre-mer.
La revue Encounter, éditée par le poète Stephen Spender, fut l’organe principal de la guerre froide. Sa carrière fut torpillée pour de bon par certaines révélations à propos du soutien apporté par la CIA. Par contre, George Orwell, lui, fut un agent très habile des services secrets britanniques. Moyennant rétribution, il dressa des listes de noms de ses anciens camarades du Parti Communiste tout en menant une lutte rabique contre la gauche dans ses banales oeuvres de fiction à la réputation des plus surfaites.
La guerre du Vietnam: un tournant
"George Orwell, agent très habile des services secrets britanniques, a mené une lutte rabique contre la gauche dans ses oeuvres à la réputation des plus surfaites"
La quasi-totalité des revues «radicales» ou de «gauche» publiées au cours de la guerre froide étaient financées par la CIA. Cela allait de Partisan Review aux Etats-Unis à Transition en Ouganda. La totalité des périodiques universitaires et culturels en provenance des universités américaines fut soutenue par la CIA par le biais de fondations qui servaient de façades.
Le succès de la stratégie de la CIA était tributaire de la définition de l’art, telle que la formulait la classe dirigeante. L’art non politique était mis sur un même pied que l’art anticommuniste. La liberté intellectuelle n’était autre que la liberté d’adopter une position procapitaliste.
La guerre du Vietnam et la faillite de la «gauche traditionnelle» allaient dégager la voie pour un mouvement révolutionnaire de gauche en Europe et aux Etats-Unis. Le tournant fut la période qui vit le retour du Vietnam des dépouilles mortelles des soldats américains et où les anciens «intellectuels de gauche», non contents d’avoir retourné leur veste, préférèrent se taire par crainte d’offenser les patrons qui les engraissaient. La montée de la «nouvelle gauche» compliqua grandement la politique de la guerre froide et signifia la fin des activités du CCF.
* L’auteur enseigne la littérature américaine et collabore à la revue britannique Fight Racism, Fight Imperialism. Cet article est la version abrégée d’une critique parue dans cette revue en juin 2000, lors de la sortie du livre en anglais.
Qui mène la danse? La CIA et la guerre froide culturelle. Frances Stonor Saunders, Ed. Denoel, collection Impacts, 510 pages, +/- 25 euros

Voir aussi:
Les soldats américains blessés doivent rembourser l'armée

ENCORE & TOUJOURS MOI... (& le slam, accessoirement !)

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MOI & le slam !

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Thursday, May 25, 2006

MOI & le paparatzi !

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MOI & MOI DANS MES OEUVRES !

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... MOI, guy & johnny !

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Thursday, April 27, 2006

Fil AFP (Agence de Franche Po�sie)

Saturday, April 22, 2006

HOMMAGE A NATHALIE QUINTANE !

Mr M-K/ - MAIS QUI SE SOUCIE DE NOUS ???
LE CHOEUR/ - PAS NOUS PAS NOUS !!!
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Wednesday, April 05, 2006

Les jeunes retraités soutiennent le mouvement anti-CPE !

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J'ABATS MON JE(u) SUR LE TAPIS V(i)OLANT !

A&d'imam coupable ,
TOUS COUPABLES !
Georges H. affirme qu'il aurait dû participer aux attentats du 11 septembre 2001 à bord d'un cinquième avion lancé contre la Maison blanche et qu'il savait que deux appareils allaient être précipités contre le World Trade Center.
Dans une déclaration au tribunal, le Français d'origine grecque - seule personne à avoir été inculpée aux Etats-Unis d'implication dans les attentats du 11 septembre - a déclaré que Richard Reid, surnommé "shoebomber", aurait dû faire équipe avec lui à bord d'un avion pour une mission suicide.
Richard Reid a été maîtrisé le 22 décembre 2001 à bord d'un vol Paris-Miami alors qu'il tentait de faire sauter ses chaussures piégées avec des explosifs. Il a été condamné en janvier 2003 à la réclusion à vie.
Les propos de lundi de georges H. sont en contradiction avec une déclaration qu'il avait faite l'an dernier en plaidant coupable. Il avait dit à l'époque n'être pas censé participer aux attentats du 11 septembre 2001 mais qu'il était prévu qu'il fasse partie d'une deuxième vague d'attentats et précipite un avion sur la Maison blanche.
Ses déclarations devant le tribunal lundi ont été contredites peu après par le témoignage écrit de Khalid Sheikh Mohammed, considéré comme le cerveau des attentats du 11 septembre 2001 et détenu au secret par les Etats-Unis.
Mohammed a déclaré que georges H. devait participer à une seconde vague d'attentats.
LA MAISON BLANCHE ET LE WTC "A COUP SÛR" VISÉS
Les avocats du Français ont tenté d'empêcher son témoignage. Ils affirment qu'Al Qaïda invite ses membres à mentir aux autorités en cas d'arrestation mais la juge Leonie Brinkema n'a pas retenu leurs arguments.
georges H., dont le procès a pour seul but de déterminer sa peine (la peine de mort ou la réclusion à perpétuité), a ajouté qu'il ne connaissait pas la date prévue pour les attentats lorsqu'il a été arrêté dans le Minnesota, le 16 août 2001, alors qu'il prenait des cours de pilotage pour avion de ligne.
"Je savais que les deux tours seraient touchées, mais je n'avais pas de précisions", a-t-il dit.
Gerald Zerkin, l'un de ses avocats désignés par le tribunal, a demandé à georges H. s'il aurait dû participer aux attentats du 11 septembre 2001. "J'étais censé piloter un avion qui frapperait la Maison blanche", a répondu l'accusé.
georges H., qui paraissait très calme et s'exprimait de manière posée, a dit avoir décliné en 1999 une première offre de participer comme pilote à un attentat suicide contre les Etats-Unis.
Il dit avoir accepté l'année suivante après avoir eu un rêve dont il a discuté avec Oussama ben Laden.
"Ce que je savais de l'opération était très progressif. Je n'étais pas au courant depuis le début", a-t-il dit. "Je ne faisais pas partie de l'opération au départ parce que j'ai refusé d'y participer".
georges H. a, par ailleurs, affirmé n'avoir vu aucun des auteurs des attentats du 11 septembre 2001. Mais il a dit connaître, tout au moins de visage, la quasi-totalité des 19 pirates, dont leur chef, Mohamed Atta.
"On ne m'a jamais dit spécifiquement qu'ils faisaient partie de l'opération. Je savais que Mohamed Atta avait quelque chose à y voir. Et je savais à coup sûr que la Maison blanche et le World Trade Centre seraient visés.
"Je savais que cela interviendrait après août. On m'a dit que cela arriverait à la fin de l'été".
Prié de dire si l'objet des attentats était de tuer des Américains, georges H. a répondu: "En effet".
Ariane Bart
posted by NotBilly @
4/04/2006 11:20:00 AM

http://filafp.blogspot.com/

TOURISTE, PREND GARDE AUX AVALANCHES !

DANS LA SERIE
(VIRTUELLE, MAIS TELEVISEE) :
"A&d'Imam,
notre merveilleux fou volant
sur sa drôle de machine !",
nous déclare qu'il veillera, comme D'AB., à faire de son pire...
  • TOURISTE, PREND GARDE AUX AVALANCHES !

A&D'IMAM PASSE AUX AVEUX !

COMMENT J'AI PILOTE CERTAINS DE MES TAPIS...

POUR &TRE OPERATIONNEL EN 2 A 3 SEMAINES...

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SAINTE EULALIE'S NOT DEAD !

SAINTE EULALIE'S NOT DEAD !

PLUTÔT LA GRIPPE AVIAIRE
QUE LA PESTE BRUNE !

Saturday, March 25, 2006

NO COMMENT !

Monday, January 30, 2006

lundi 30 janvier 2006

SOIREE FLUXUS BESANçON
A L'ESPACE W Gantner !
LE SHAMAN & SON AME
(très détachée de ce pur corps mystique !)

SUR LE PASSAGE DU SHAMAN AU SHOWMAN...


HORS D4OEUVRE D4ART

Sunday, January 29, 2006

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BALL-TRAP TRAGIQUE A MARNE LA VALLEE

Le poète Jacques Demarcq,
l'ami & grand traducteur de tous les oiseaux français & &trangers, &st mort !
1er cas de grippe aviaire à Marne la Vallée

PLUTOT LA GRIPPE AVIAIRE QUE LA PESTE BRUNE !

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